Affrontements à Cucuta, ville frontière Colombie-Venezuela – novembre 2009

Colombia Map-small copy

Violentos disturbios bloquearon frontera con Venezuela toda la mañana del sábado

http://www.eltiempo.com

Domingo 8 de noviembre de 2009

Tras permanecer cerrado en mañana, por enfrentamientos entre ‘maleteros’ -colombianos que transportan mercancía- y miembros de la Guardia Nacional, en la tarde fue reabierto el puente Simón Bolívar,

Los choques, que dejaron cuatro lesionados, se presentaron cuando decenas de manifestantes, a los que se les unieron mototaxistas y vendedores informales de gasolina, quemaron llantas y arrojaron piedras en el viaducto para expresar su inconformismo frente a las tradicionales y drásticas requisas y, según ellos, maltratos verbales, a los que son sometidos diariamente.

« No es justo que los venezolanos compren en Cúcuta y pasen muy tranquilos el puente, mientras que a los colombianos la Guardia sí nos maltrata, quitándonos la mercancía que compramos allá », relató un ‘maletero’.

Es la segunda vez en una semana que se cierra el puente, en momentos en que la frontera colombo-venezolana vive una situación de tensión por el distanciamientos entre los dos países.

Entre el martes y el miércoles pasados, el puente estuvo cerrado por las autoridades venezolanas después de la muerte de dos miembros de la Guardia Nacional a manos de pistoleros, en el sector de Palotal, Estado Táchira.

En esta ocasión,Venezuela endureció su discurso por el acuerdo militar firmado entre Colombia y Estados Unidos, que busca fortalecer la lucha contra el terrorismo y el narcotráfico.

El viernes pasado, en otro episodio, la Policía colombiana detuvo en el corregimiento La Parada, en Villa del Rosario, área metropolitana de Cúcuta, a un ex militar venezolano que había desertado hace año y medio y que portaba dos uniformes del ejército de su país y botas camufladas.

Un habitante del sector lo sindicó de haber robado varios celulares, pero las autoridades no le hallaron ninguno. Ayer, comerciantes de Bucaramanga denunciaron que 500 toneladas de frutas y verduras dispuestas en 12 tractomulas están represadas en Cúcuta.

El Gobierno de Venezuela minimizó el cierre del puente internacional al señalar que fue provocado por una protesta de contrabandistas de combustible. La agencia venezolana de noticias ABN dijo que el cierre fue por medidas de seguridad frente a la protesta.

disturbios

Affrontements à la frontière entre le Venezuela et la Colombie

http://www.come4news.com

8 novembre 2009

On se rappelle les événements provoqués par les nouvelles tensions entre la Colombie et le Venezuela, événements que vous pourrez aisément retrouver sur Come4News à partir de l’article suivant : « Incidents à la frontière entre la Colombie et le Venezuela », et on se souvient également que le gouverneur vénézuélien de l’État du Táchira avait fait appel aux bons offices du Brésil pour calmer le jeu entre les deux pays.

Le président Lula ne s’est pas fait prier, puisqu’il a immédiatement pris la parole, affirmant qu’il parviendra à faire s’asseoir à la même table le président Alvaro Uribe de Colombie et le président Hugo Chavez du Venezuela, et qu’il les amènera à signer un pacte de non-agression réciproque.

Hasard du calendrier, ou geste de colère, juste après cette intervention du président brésilien, le président Chavez annonçait le lancement de l’Operación Centinela, une opération militaire visant officiellement à lutter contre les narcotrafiquants sur la frontière colombienne, et contre les contrebandiers de minerais à la frontière brésilienne, mais se traduisant dans les faits par le déploiement de 15.000 gardes nationaux bolivariens aux frontières du Venezuela avec le Brésil et la Colombie.

Lors d’une conférence de presse, Nicolás Maduro, Ministre des Affaires étrangères du Venezuela, a affirmé que son gouvernement allait renforcer les défenses militaires afin de rendre le pays inexpugnable, et qu’il garantissait que le territoire national ne pourra jamais être touché par un seul soldat américain. Car, encore une fois, Caracas rend les États-Unis coupables de la multiplication des actes de violence dans la zone frontalière avec la Colombie.

De son côté, le président colombien a fait appel à l’Espagne pour enquêter sur les massacres et sur les arrestations de Colombiens au Venezuela ; mais nous ne connaissons pas encore la réponse du gouvernement espagnol.

Ainsi, depuis une quinzaine de jours, la frontière entre le Venezuela et la Colombie est soit fermée, soit son passage est fortement restreint, en tout cas pour les citoyens colombiens.

Nous vous avions également parlé d’une centaine de Colombiens interpellés sans document d’identité au Venezuela, treize d’entre eux viennent d’être expulsés vers leur pays d’origine, tandis que les autres sont toujours interrogés. De même, le consul de Colombie dans le département où s’est produite l’arrestation massive est sous le coup d’une enquête visant à établir sa culpabilité dans cette affaire et son lien avec les Sans-papiers. Le gouvernement vénézuélien a déjà fait savoir que le consul pourrait être déclaré persona non grata si son implication dans cette histoire était avérée.

Voilà où nous en sommes, la situation à la frontière entre les deux pays est toujours délicate, et il est encore trop tôt pour savoir comment tout cela va évoluer, et pour découvrir quels sont les véritables mobiles de part et d’autre !

Une chose est certaine, les premiers affectés par ce regain de tension entre les deux pays sont les frontaliers qui commercent tous les jours avec ceux d’en face.

La situation est devenue tellement critique pour certains, qu’ils franchissent les barricades dressées par les douaniers ou empruntent les anciens chemins des contrebandiers, pénétrant illégalement dans le pays voisin… en prenant le risque d’être accusés de conspiration ou de paramilitarisme s’ils sont interpellés par les gardes bolivariens.

Mais ce matin, fatigués par ces deux semaines d’insécurité et de paralysie de leurs activités, les habitants de Cúcuta en Colombie ont franchi le pont Bolivar et ont affronté les gardes bolivariens qui leur interdisaient l’accès au Venezuela.

Cette protestation était menée par ceux qu’on appelle les « maleteros » du côté colombien (les porteurs de valise, qui transportent ainsi à bout de bras des denrées alimentaires qu’ils vont vendre au Venezuela), et les « pimpineros » du côté vénézuélien (les contrebandiers de l’essence qui transportent dans des bidons l’essence vénézuélienne moins coûteuse qu’en Colombie).

Par la suite, les chauffeurs de mototaxi travaillants dans cette région se sont joints à la manifestation pour se plaindre des mauvais traitements et, pour certains, pour réclamer aux gardes bolivariens qu’ils leur rendent leurs véhicules injustement saisis.

Les jets de pierre ont rapidement répondu aux gaz lacrymogènes, et certains manifestants ont même utilisé des lance-grenades artisanaux contre les gardes bolivariens. On déplore au moins quatre blessés chez les contestataires, cinq chez les gardes nationaux et quatre Colombiens auraient été arrêtés.

Sur ces entrefaites, la police colombienne interpellait un militaire vénézuélien accusé de plusieurs vols sur le territoire national.

En quelques lignes, voilà un bref compte-rendu de journées riches en rebondissements, les accusations de part et d’autre de la frontière se font chaque jour plus précises et plus agressives et, aux dernières nouvelles, l’Équateur viendrait de sommer le gouvernent colombien de s’expliquer sur les opérations d’espionnage dénoncées par Caracas.

Que de temps et d’énergie perdus alors que la crise de l’emploi progresse en Colombie et que le Venezuela et l’Équateur ne sont plus capables d’assurer les services de distribution d’eau et d’électricité dans toutes les régions du pays.

Et même si toute cette agitation se conclut, comme d’habitude, par une poignée de main hypocrite entre les deux chefs d’État devant un parterre de journalistes, qui aidera les familles brisées par l’assassinat d’un fils ou d’un époux, qui remboursera les petits commerçants locaux, qui rendra enfin leur dignité à ces gens qui luttent déjà au quotidien et qui sont à chaque fois les premières victimes de visées politiques qui les dépassent ?

906404_n_vir1

Cierran por protesta puente internacional Simón Bolívar en Táchira

http://www.eluniversal.com

sábado 07 de noviembre, 2009

10:32 AM Bogotá.- Una protesta de ciudadanos inconformes con las medidas de vigilancia adoptadas por las autoridades venezolanas provocó el sábado el cierre temporal de uno de los puentes de paso entre Colombia y Venezuela.

El cierre del puente internacional « Simón Bolívar », que une las poblaciones colombianas de Cúcuta con la venezolana de San Antonio, se produjo cerca de las 8.00 horas (1300GMT), informó el jefe operativo de la policía del departamento colombiano Norte de Santander, coronel Raúl Riaño.

Dijo en diálogo telefónico que entre 25 y 30 manifestantes lanzaron piedras contra agentes venezolanos de la Guardia Nacional en protesta por chequeos de seguridad y restricción de paso, informó AP.

Trascendió que el cierre responde a fuertes enfrentamientos entre los « maleteros » dedicados al contrabando y efectivos venezolanos, en respuesta a un mayor control sobre el tráfico de mercancías en la zona.

Un segundo cruce por el puente « Francisco de Paula Santander », entre la localidad venezolana de Ureña y Cúcuta, a unos 400 kilómetros al noreste de Bogotá, estaba abierto.

Las autoridades venezolanas cerraron el lunes por día y medio el paso por los dos puentes a raíz del asesinato a tiros de dos agentes de la Guardia Nacional en un puesto de control fronterizo. Un venezolano de 20 años está detenido por el caso de los guardias, según ha informado el gobierno en Caracas.

Otros pasos entre los dos países, al extremo norte por la localidad colombiana de Paraguachón, o más al sur por Arauca, han permanecido abiertos, pero son de mucho menor flujo que el eje Cúcuta-San Antonio, donde las autoridades calculan que cruzan cada día más de 20.000 vehículos y miles de personas.

IMAGEN-6534647-1

Se restableció el paso por el puente internacional Simón Bolívar tras fuertes disturbios

http://www.eltiempo.com

Sábado 7 de noviembre de 2009

Desde las 8:00 hasta las 11:30 de la mañana, ‘maleteros’ y ‘pimpineros’ se enfrentaron con miembros de la Guardia Nacional exigiendo mejor trato de los uniformados venezolanos.

Con llantas quemadas y piedras los ‘maleteros’ (que cargan mercancía en la frontera) y ‘pimpineros’ (que comercializan gasolina del vecino país) protestaron en el puente internacional Simón Bolívar que una a Cúcuta con San Antonio (estado Táchira).

Los miembros de la Guardia Nacional se ubicaron en el paso elevado, del lado venezolano, y mantuvieron cerrado el ingreso a su país tras quemar do motos de propiedad de colombianos. Los mototaxistas también se unieron a la manifestación.

Los protestantes denunciaron maltratos de la Guardia y decomisos permanentes de pequeñas cantidades de mercancía que a diario se pasa por el puente en ambos sentidos.

A esta hora ya hay paso peatonal en el paso elevado donde seis manifestantes resultaron lesionados.

Precisamente, anoche por este puente Venezuela deportó a las autoridades de extranjería de Colombia a 13 de 90 nacionales que denunciaron haber sido detenidos en sus propias casas. Los colombianos estaban indocumentados en el territorio vecino.

Anoche otros 29 colombianos fueron deportados del etado Apure y llevados al puente internacional José Antonio Páez, que unea Arauca con El Amparo.

En otro hecho, la Policía colombiana detuvo en el corregimiento La Parada, en Villa del Rosario, a un ex militar venezolano que había desertado hace año y medio y  portaba dos uniformes del ejército del vecino país y botas camufladas.

El extranjero fue requerido por la Policía después de que un habitante del sector lo sindicó de haber robado varios celulares, pero en la requisa no se le halló ningún teléfono.

« Él dijo que había desertado del ejército venezolano pero como estaba de ilegal en Colombia se van a realizar los trámites de su deportación con personal de extranjería del Das y será entregado a las autoridades venezolanas », dijo una fuente oficial en la frontera.

BUCARAMANGA

Disturbios obligan a cerrar el puente fronterizo entre Colombia y Venezuela

7 novembre 2009

Bogotá, 7 nov (EFE).- Los disturbios entre comerciantes colombianos y miembros de la Guardia Nacional venezolana obligaron a cerrar hoy de nuevo el puente internacional Simón Bolívar, fronterizo entre ambos países.

Las protestas en el paso que une Cúcuta (Colombia) con San Antonio (Venezuela) están encabezadas por « maleteros », que cargan mercancía en la frontera, y « pimpineros », como se conoce a los contrabandistas de gasolina, informaron varias emisoras colombianas.

Los manifestantes denuncian maltratos y decomisos por parte de la Guardia venezolana, que mantiene cerrado el ingreso a su país.

En las dos últimas semanas, Venezuela ha cerrado en varias ocasiones el paso por este y otros puentes fronterizos, en los que se han agolpado cientos de personas dedicadas a transportar mercancías y combustibles entre ambos países.

A raíz de la tensión creciente en la frontera, el Gobierno de Colombia solicitó ayer a España « explorar mecanismos de verificación y monitoreo » de esa zona, así como de los casos de colombianos asesinados y detenidos en los últimos días en el país vecino.

El hecho más grave fue el asesinato de nueve colombianos que habían sido secuestrados el 11 de octubre junto con un peruano y un venezolano en la localidad venezolana de Fernández Feo, donde jugaban al fútbol.

Además, el pasado lunes dos agentes de la Guardia Nacional de Venezuela fueron asesinados también en la zona fronteriza, a lo que se han unido desórdenes en los pasos limítrofes.

El Gobierno que preside Hugo Chávez, que relacionó esas muertes con acciones de « paramilitares » colombianos, anunció el jueves la movilización hacia las áreas limítrofes de 15.000 militares.

El deterioro de las relaciones entre Colombia y Venezuela se agudizó el pasado agosto, cuando Chávez ordenó congelarlas y cortar el intercambio comercial.

Chávez actuó en respuesta al acuerdo militar entre Colombia y Estados Unidos, anunciado entonces y que Caracas considera una amenaza para la seguridad regional porque permite a tropas norteamericanas usar hasta siete bases del país andino.

El canciller colombiano, Jaime Bermúdez, reiteró esta semana que su país está dispuesto a solucionar, mediante el diálogo, la crisis con Venezuela, al tiempo que reconoció que hay « dificultades y problemas sensibles » en la zona de frontera.

Mientras, el presidente brasileño, Luiz Inácio Lula da Silva, dijo que confía en que Chávez terminará entendiéndose con su homólogo colombiano, Álvaro Uribe, y anunció su intención de promover una reunión entre ambos para el 26 de noviembre próximo en la ciudad brasileña de Manaos.

Cucuta.10

Informations

Cúcuta est une ville de Colombie et le chef-lieu du département Norte de Santander. Elle est le centre de la sixième grande zone métropolitaine de la Colombie. Elle est située au nord-est du pays, à la frontière avec le Venezuela et sur les rives du río Pamplonita.

~ par Alain Bertho sur 7 novembre 2009.

Laisser un commentaire